La sophrologie et la psychologie sont très différentes mais très complémentaires
La sophrologie ne requiert pas de matériel particulier. Une simple chaise suffit. Il peut vous être demandé pour les séances de groupe un tapis de sol.
La tenue vestimentaire conseillée pour la pratique de la sophrologie est la suivante : il faut que vous portiez une tenue qui vous est confortable afin que vous soyez en mesure de réaliser des mouvements parfois amples sans être contraint. Vous pouvez retirer une ceinture ou encore vous mettre pieds nus si vous êtes plus à votre aise.
La sophrologie est une pratique de plus en plus reconnue. La Chambre Syndicale de la Sophrologie et la Société française de Sophrologie continuent d’oeuvrer pour la reconnaissance de cette pratique complémentaire et de ses bénéfices.
Certaines mutuelles prennent aujourd’hui en charge une part de votre accompagnement.
Je vous invite à les consulter en cliquant ici.
Il se peut, par ailleurs, qu’en raison de l’évolution permanente des prises en charges, votre mutuelle ne soit pas encore répertoriée. N’hésitez pas donc à vous renseigner directement auprès d’elle.
Dans le cas d’un suivi de traitement, la sophrologie aura pour objet de vous donner les outils complémentaires à votre traitement pour optimiser vos chances de guérison ou pour vous permettre de mieux vivre votre maladie. Mais en aucun cas, elle ne pourra se substituer à un traitement médical.
La dimension primordiale lorsque vous entamez un protocole d’accompagnement en sophrologie est le volontariat. En pratique, ce n’est qu’après deux ou trois séances que vous pourrez juger de votre réceptivité à la méthode.
Bien que les ostéopathes utilisent dans leur pratique des techniques de fasciathérapie, cette dernière possède une spécificité à part entière : le thérapeute accompagne la demande silencieuse du corps pour que celui-ci trouve sa propre solution. Il ne fait pas à la place de, il permet à l’organisme de rétablir ses propres fonctions.
Oui, l’approche est différente et l’apport n’en sera que complémentaire.
La fasciathérapie ne se substitue pas à une prise en charge médicale lorsqu’elle traite une pathologie. Elle viendra en complément et vos traitements ne pourront-être arrêtés, le cas échéant, que sur avis favorable de votre médecin.
Comme toute thérapie non conventionnée, la fasciathérapie n’est pas remboursée par la sécurité sociale mais certaines mutuelles peuvent assurer une prise en charge.